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Coeur meutri à la dérive

5 décembre 2012

Jamais je ne pourrais

Jamais je ne t'oublies, je penses trés souvent à toi, même si à présent le souvenir est lointain, je sais que tu me faisait du bien.

 Il y a des soirs comme ce soir où la terre semble s'écrouler sous mes pieds, comme j'aimerais te savoir proche de moi. Avec toi prés de moi je me sentais forte, combattante, seule, sans soutien, sans amour, je me sent anéanti, vidée de tout mon sang, là, je me rends compte à nouveau de tout le bien que tu m'apportais.

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8 août 2011

Et le souvenir reste...

Aprés avoir compter en jours, puis en mois, aujourd'hui c'est en années que je commence à compter. Ma peine est partie, mais pas la nostalgie. Aujourd'hui je me sens "apaisée", je pense toujours à toi mais tout cela me semble tellement loin que je te voit comme dans un rêve...une chose qui au petit matin fait du bien en y repensant mais dont on sait que cela ne se réalisera pas et on accepte la fatalité.

Malgré toutes les souffrances, je ne garde au fond de moi que les bons moments, tu restera pour moi à tout jamais un passage de ma vie.

Le proverbe dit: Toutes les bonnes choses ont une fin...A présent je comprends, car c'est en perdant les choses précieuses que l'on s'apperçoit à quel point elles étaient bonnes et à quel point elles faisaient du bien.

Mais c'est lorsque l'on met fin à quelques chose que l'on se rend compte de l'immense plaisir que les bonnes choses peuvent procurer....

8 juin 2010

le tombeau

SepiaRose_1_1_Je vient içi quand le manque devient trop puissant, trop fort, quand le vide se fait sentir, quand, dans des instants de lucidité mon esprit me fait prendre conscience que j'ai perdu une partie de mon existence.

Ce blog est le sépulcre de notre histoire, j' y dépose quelques mots sortis tout droit de mon äme, comme on dépose une rose sur une tombe en guise de recueillements.

je me receuille, et je pense... je regarde ce tombeau anodin, révélant secrétement tout le malheur dont seul lui détient le secret, murant sous sa pierre une petite boîte en bois, fragile, brisée, avec à l'intérieur enfouit six pieds sous terre...

Mon envie audacieuse, mon désir brûlant, tes sentiments impénétrables, les miens, si différents, mélangés à tout jamais.

Tout est mort... détruit, n'a plus d'existence... je ne fait plus partie de ta vie, tu me l'a dit, tu ne fait plus parti de ma vie, Je doit l'admettre et pourtant je suis là... je reste là... seule, toujours dans l'espoir d'un hypothétique bouleversement.

Face à tout cela, mon espoir est l'une de mes seules raisons d'être.

29 mai 2010

Ma cicatrice

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La fin de notre histoire , comme une plaie profonde dans ma chair, réussira peut être un jour à se refermer totalement, enfouissant au plus profond d'elle-même tous nos souvenirs, les bons et les mauvais, le plaisir et la douleur.

Seule la boursouflure en surface indiquera l'histoire passée, la trace de ton passage dans ma vie, comme un tatouage sur ma peau, à jamais éternelle.

Au regard de cette marque sur ma peau, la sensibilité se réveillera, l'effleurement de ma main sur cette meutrissure ravivera instantanément le manque de toi, le souvenir de ton regard, ton sourire, nos envies...mon envie, ma bêtise, la vérité, les douleurs d'une fin si dramatique et cruel à la fois.

Ainsi devrait être mon souvenir une fois la blessure refermée, guerrie.

La plaie tente à se resserrer mais reste encore ouverte et fragile, par manque de soins, à tout moment, une infection peut s'y installer , rongeant la blessure...petit à petit, empoisonant mon corps, mon coeur, ma tête.

La douleur encore si vive pourrait devenir insoutenable, pourrissant ainsi ma vie toute entiére et la faisant partir en lambeaux complétement et à tout jamais...

Pourquoi m'as tu abandonné ainsi dans l'ignorance et la dédain ?

17 mai 2010

derniére danse

Paroles Kyo Dernière Danse  ( légérement revu eet modifiée)

J'ai longtemps parcouru son corps
Effleuré cent fois son visage

J'ai trouvé de l'or
Et même quelques étoiles
En essuyant ses larmes
J'ai appris par coeur
La pureté de ses formes
Parfois, je les dessine encore
Il  fait parti de moi


Je veux juste une Dernière Danse
Avant l'ombre et l'indifférence
Un vertige puis le silence
Je veux juste une Dernière Danse

Je l'ai connu trop tard
Mais c'est pas d'ma faute
La flèche a traversé ma peau
C'est une douleur qui se garde
Qui fait plus de bien que de mal
Mais je connais l'histoire
Il est déjà trop tard
Dans son regard
On peut apercevoir
Qu'il se prépare
Au long voyage

Je veux juste une Dernière Danse
Avant l'ombre et l'indifférence
Un vertige puis le silence
Je veux juste une Dernière Danse

Je peux mourir demain
Mais ça n'change rien
J'ai reçu de ses mains
Le bonheur ancré dans mon âme
C 'est même trop pour une seule femme
Je l'ai vu partir, sans rien dire
Fallait seulement qu'il respire
Merci d'avoir enchanté ma vie

Avant l'ombre et l'indifférence
Un vertige puis le silence
Je veux juste une Dernière Danse

J'ai longtemps parcouru son corps
Effleuré cent fois son visage
J'ai trouvé de l'or
Et même quelques étoiles
En essuyant ses larmes
J'ai appris par coeur
La pureté de ses formes
Parfois, je les dessine encore
Il fait parti de moi

http://www.youtube.com/watch?v=OCypehnjb9k

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16 mai 2010

"trop" excessif

UKCANHR729CA0WAVITCACL1TZTCAX4E7X8CATA5U7HCAANCY6VCA4XCHTUCASRQ8SICA22MB89CA2R7332CAFIR0Q2CAKO3NCNCA4CI68JCA1JJGS6CAHEOLU2CA5RJO2GCAGEVCGCCAA7YFRSCAX497F2J'aime...mais j'aime mal, j'aime trop

Je rêve...mais je rêve mal, je rêve trop.

A trop vouloir bien faire on finit par tout foutre en l'air.

Toujours rechercher la perfection, pour tout, pour au final arriver à l'opposé de mes désirs. Quel paradoxe!!!

Rechercher en permanence la perfection s'avére n'être qu'un défaut bien plus qu'une qualité.

16 mai 2010

La prétention de rien

Qui peut prétendre me connaître
Sans se contenter du paraître
Image toute faite ou projection
Ce qu'on vous prête est à confusion
Qui peut prétendre me comprendre
Quand il faut de tout se défendre
Passer les on-dit, casser la glace
Et gratter le vernis en surface
Quand soi-même on cherche et se perd
Pour toute une vie qu'on veut bien faire.



Je suis comme je suis
J'aime comme j'aime
Même si j'en paie le prix
Je suis comme je suis
Je suis mes envies
Comme suivent ceux qui m'aiment
Je rêve comme je rêve
Plutôt mal que bien

Parfois même un rien
Je suis comme je suis
En tout cas je n'ai
La prétention de rien.


Qui peut prétendre avoir la clé
De mon enfance et ses ratés
Ranger tous vos clichés qui rassurent
Des blessures à vivre sous l'armure
Mais qui peut prétendre encore prétendre
Avoir un jugement à rendre
Et pouvoir se regarder en face
Qu'est-ce qu'il aurait fait à ma place
Quand moi même je cherche et m'y perds

Pour tout un cirque qu'il faut bien faire.

Chanson Pascal Obispo

10 mai 2010

Entre espoir et certitude

Ai-je encore mal aujourd'hui ?espoir_1_

la douleur est toujours là, différente, tranformée. Tous mes efforts semblent s'anéantir au fur et à mesure que j'avance dans ma vie, le vide que tu a laissé  toujours présent.

Hier , mon espoir me déchirais le coeur à en hurler de chagrin.                                                   Aujourd'hui alors que je suis enfin convaincue qu'il n'y a plus rien à espérer, c'est la certitude qui me hante, me blesse et me déchire.

La certitude...peut-elle réellement exister totalement, ne peut-elle pas laisser un peu de place à l'espoir?

La certitude que si il y a eu sentiments réciproques, ils n'existent plus aujourd'hui...je le sais. Je m'autorise simplement l'espoir de pouvoir à nouveau être en contact avec toi au moins une fois...

Au moins une fois.

Notre histoire a comme un goût d'innachevée qui entretien le fantasme d'un épisode de notre vie qui aurait dû se terminer autrement.

On ne peut refaire le passé...on peut s'y retourner néanmoins on ne doit s'y arretter pas, pourtant on peut toujours repartir du point zéro...

Pour toi, sans espoir de lecture.

25 avril 2010

Jour aprés jour

igli1p2f_1_Jour aprés jour j'apprends à vivre sans toi....

Jour aprés jour ma douleur s'évacue, laissant place à la lumiére, à la réalité, à la vie... à MA vie.

Cette vie que j'étais prête à sacrifier pour toi, aurais été une abnégation démesuré face à tes sentiments profonds aujourd'hui dévoilés.

Ta présence ne m'aveugle plus, jour aprés jour je retrouve la vue, je réalise... je voit... je repense... je me souvient.

Je m'autorise à me souvenir car ton image n'est plus synonyme de blessures si violentes, mes souvenirs me réchauffent, me transportent comme dans un rêve, loin, trés loin de la fin tumultueuse qu'elle a été, ne gardant plus sur le devant que les meilleurs moments de nous.

Ma vie n'a pas changé pour autant, elle reste la même, je réussi à nouveau à me contenter de ce que la vie veut bien m'offrir ne cherchant plus à tout prix à la parsemer d'étincelles. Une chose m'effraie cependant....le jour où j'aurais besoin du réconfort de ton épaule, je ne l'aurais plus.

Aujourd'hui la douleur laisse place à la tristesse, tristesse de t'avoir perdu, triste de ma stupide naïveté qui m'a laisser croire en tes sentiments, triste de prendre conscience de n'avoir été à tes yeux qu'une simple erreur et de voir à quel rapidité tu m'as rayé de ta mémoire.

tout cela ne sont que mes souvenirs de notre histoire,

toi tu l'écrirais surement différement...

20 avril 2010

" Les ruptures ont ça de bon qu'on redevient

" Les ruptures ont ça de bon qu'on redevient soi-même ".

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